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Liste des 5 choses à penser avant de partir en vacances

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Mélanie Demers, inf. B.Sc.

Apportez votre crème solaire

En plus de vous couvrir (chapeau, lunettes de soleil, chandail) aux heures de grande exposition (entre 10 et 14 heures), utilisez une bonne crème solaire à base d’oxyde de zinc ou de dioxyde de titane, les filtres chimiques ayant des effets non négligeables sur la peau. Assurez-vous qu’elle offre une bonne protection contre les rayons UVA et UVB du soleil (large spectre) avec un FPS d’au plus 30. Appliquez-la généreusement 20 à 30 minutes avant l’exposition et réappliquez après la baignade, une transpiration abondante ou toutes les 80 minutes.

Hydratez-vous

Apportez avec vous une (ou plusieurs) bouteilles d’eau en acier inoxydable. Attention, celles en plastique sont souvent constituées en polycarbonate, un plastique transparent et très rigide. Elles peuvent libérer du bisphénol A (BPA), une substance chimique ajoutée au plastique qui peut dérégler les hormones dans votre corps. Si vous choisissez des bouteilles à usage unique, évitez de les réutiliser et de les laisser à une chaleur intense (dans l’auto, par exemple) où elles peuvent libérer différentes substances dans votre eau telles que du BPA, des phtalates ou des métaux lourds, qui s’avèrent toxiques. Il peut être utile d’ajouter un peu de sel à votre eau, car lors d’une transpiration abondante, il y a perte non seulement d’eau, mais aussi de sodium, ce qui occasionne souvent de la déshydratation.

Apportez votre insectifuge

Avec le réchauffement des températures, on remarque une migration des insectes porteurs du virus du Nil occidental et des tiques transmettant la maladie de Lyme. Ils ont d’ailleurs fait leur apparition au Québec dans les dernières années. Pour vous protégez des piqûres d’insectes, portez des vêtements longs de couleurs pastelles ainsi que des souliers fermés. Utilisez toujours un insectifuge selon les directives du fabricant et vérifier l’efficacité des ingrédients actifs. Évitez les crèmes solaires insectifuges qui s’avèrent moins efficaces pour protéger du soleil.

N’oubliez pas votre alimentation

Bien que les vacances incitent souvent à des écarts plus ou moins importants et à plus de repas au restaurant, n’oubliez pas que votre alimentation vous donne l’énergie nécessaire pour passer à travers vos journées. Ainsi, il serait dommage que vous soyez plus fatigués au retour de vos vacances qu’à votre départ parce que votre corps a manqué de nutriments essentiels. Voici donc quelques éléments à surveiller :

  • Le sucre : Les boissons et les aliments riches en sucre font grimper rapidement le taux de votre glycémie, ce qui amène une importante libération d’insuline et, 2 heures plus tard, vous avez encore faim pour des aliments sucrés. À la longue, cela épuise le corps.
  • Les aliments transformés : Ils s’avèrent très pratiques, en camping par exemple, mais ils renferment un certain nombre de substances dont votre corps n’a pas besoin : glutamate monosodique, colorants synthétiques, organismes génétiquement modifiés (OGM),agents de conservation, sucre et autres additifs alimentaires.
  • Les fruits et les légumes : N’oubliez pas de les incorporer à votre alimentation. Ils fournissent des vitamines et minéraux essentiels à votre santé, en plus de vous aider à contrer la déshydratation.
  • Les protéines : Elles vous aideront à conserver votre énergie tout au long de la journée. Les noix, les graines et les arachides sont d’excellentes sources de protéines faciles à transporter dans le sac à dos.

Le téléphone cellulaire

Éteignez-le! Vous pouvez toujours l’apporter en cas d’urgence, mais laissez-le fermé. Les réseaux sociaux n’ont pas besoin de savoir que vous êtes en vacances à l’extérieur, vous aurez amplement le temps de le dire à votre retour. Profitez de vos vacances pour décrocher, faire le vide et vivre pleinement en profitant de chaque instant. Il est parfois difficile de vivre ce détachement, car l’utilisation du téléphone cellulaire peut créer une dépendance psychologique. Voilà donc un exercice efficace pour savoir si vous pouvez vous en passer.

Bref, profitez de vos vacances pour vous reposer, faire le plein d’énergie et prendre du temps pour vous et votre famille. C’est le moment de se retrouver avant l’automne où les projets professionnels sont souvent nombreux, avec la rentrée scolaire et le retour à la routine où tout va souvent très vite. Bonnes vacances!

Pourquoi se préoccuper de l’alimentation? – Partie 2

Mélanie Demers, inf. B.Sc.

Nous avons vu que les résidus de pesticides, la présence d’organismes génétiquement modifiés (OGM) et l’utilisation des antibiotiques dans l’alimentation pouvaient avoir des effets néfastes pour la santé. De quoi faut-il encore se préoccuper?

Les additifs alimentaires

1. Les colorants synthétiques

Un colorant est une teinture, un pigment ou une substance qui, lorsqu’elle est ajoutée à un aliment, un médicament, un cosmétique ou sur le corps humain est capable de lui conférer une couleur. On les utilise pour compenser la perte de couleur due à l’exposition à la lumière, à l’air, à l’humidité et aux variations de température. Ils servent aussi à renforcer les couleurs naturelles et à ajouter de la couleur à des aliments qui, dans le cas contraire, n’auraient pas de couleur ou une couleur différente. Le problème concerne principalement les colorants synthétiques, dérivés du pétrole pour la plupart. En effet, ils sont peu coûteux, leur coloration est intense et uniforme et il en existe une grande variété de nuances. Les colorants synthétiques sont omniprésents dans les aliments : yogourt, céréales, boissons aux fruits, compotes, bonbons, confitures, vinaigrettes, margarine, etc.

Au cours des 30 dernières années, de nombreuses études ont conclu que des petites doses de colorants synthétiques ajoutés aux aliments pouvaient provoquer l’hyperactivité et d’autres problèmes de comportements chez les enfants. D’autres problèmes leur ont aussi été associés : problèmes cognitifs, agressivité, asthme, irritabilité, problèmes de sommeil…Bref, de bonnes raisons pour les prendre au sérieux.

2. Le glutamate monosodique

Le glutamate monosodique (GMS) est un exhausteur de goût, c’est-à-dire qu’il a pour but d’exciter les papilles gustatives des gens qui en consomment et de leur donner l’envie de manger encore plus de l’aliment qui en contient. On le retrouve dans les croustilles, biscuits, assaisonnements, soupes en conserve, repas préparés, etc. En fait, il fait partie intégrante de la plupart des aliments transformés. Le GMS a été associé à l’obésité, la dépression, la désorientation, des dommages aux yeux, la fatigue et des maux de tête. Le problème : sa présence s’avère très difficile à détecter étant donné qu’il se cache sous différents noms dans la liste des ingrédients.

3. Les agents de conservation

Les agents de conservation sont des additifs alimentaires utilisés pour le contrôle des micro-organismes ou pour ralentir l’oxydation des aliments. Ils sont nombreux et on les retrouve pratiquement dans tous les aliments transformés. Leurs noms s’avèrent souvent difficiles à prononcer et leurs effets sont variés : problèmes neurologiques et respiratoires, cancers, allergies, troubles digestifs et bien d’autres.

4. Éviter les additifs alimentaires

Étant donné que les additifs alimentaires sont présents presque partout dans notre alimentation, les façons de les éviter s’avèrent peu nombreuses :

  • Évitez les aliments transformés.
  • Cuisinez à partir d’aliments frais.
  • Lisez les étiquettes attentivement.
  • Si vous ne reconnaissez pas un ingrédient, votre corps ne le reconnaîtra pas non plus.
  • Jardinez avec les enfants, ils apprendront à apprécier le goût naturel des aliments.

Le sucre et autres édulcorants

Le sucre ajouté est défini comme n’importe quel édulcorant calorique contenant une molécule de fructose et qui est ajouté pendant la préparation des aliments. Le sucre raffiné, quant à lui, est complètement dépourvu des minéraux naturellement présents dans la canne à sucre ou la betterave sucrière.

1. Le sirop de glucose-fructose

Un des sucres largement utilisés est le sirop de glucose à haute teneur en fructose ou sirop de maïs. Son utilisation est très répandue étant donné son faible coût et ne crée pas de sentiment de satiété, ce qui permet d’en consommer sans jamais avoir la nausée comme c’est le cas avec le sucre brut comme le miel ou le sirop d’érable. Le sirop de maïs a des effets pervers sur la santé : hypertension, résistance à l’insuline, diabète, obésité, dépendance… Le sucre constitue aussi un important facteur de croissance pour les cellules cancéreuses en plus d’être associé au déclin cognitif.

2. L’aspartame

L’aspartame est un édulcorant synthétique hypocalorique, c’est-à-dire qu’il donne un goût sucré aux aliments sans les calories. On le retrouve dans les boissons gazeuses, la gomme à mâcher, les céréales, les desserts… et surtout dans les produits dits diètes ou zéro calories. Lorsqu’il est métabolisé par le corps, il libère du méthanol qui se transforme en formaldéhyde, une molécule très toxique et cancérigène. Or, les études ont démontré que cette quantité est infime et n’est pas toxique. Cependant, cela demeure une substance toxique qui entre dans notre corps. L’aspartame affecte la mémoire à court terme, peut amener le diabète, la maladie de Parkinson et d’Alzheimer, la fibromyalgie, la fatigue chronique, des maux de tête, des vertiges, etc. Bref, sa consommation n’apporte aucun bienfait.

3. Réduire les aliments sucrés

Le sucre étant omniprésent dans l’alimentation, il s’avère judicieux de choisir son origine.

  • Lisez les étiquettes. Les mots se terminant par –ose (glucose, fructose, sucrose…), sirop de maïs, sucre sont tous des synonymes de sucre.
  • Remplacez les boissons gazeuses et les jus de fruits par de l’eau ou des jus de légumes fraîchement pressés. Ajouter un peu de citron à l’eau pour lui donner une saveur.
  • Ajoutez des fruits à des céréales de grains entiers naturelles et sans sucre.
  • Remplacez les pâtisseries achetées à l’épicerie par des desserts que vous aurez cuisinés vous-mêmes, avec du sucre brut comme le miel ou le sirop d’érable.
  • Récompensez les enfants autrement qu’avec des friandises.
  • Évitez les aliments et boissons « légers », « diètes » ou « zéro calories » qui contiennent souvent de l’aspartame.
  • Cuisinez à partir d’aliments frais et évitez les aliments transformés.

Références :

Bosch, Laurentine, Top 10 food additives to avoid, http://foodmatters.tv/articles-1/top-10-food-additives-to-avoid [En ligne], page consultée le 8 octobre 2013.

Dionne, J-Y (2011). Prudence avec l’aspartame!, http://www.jydionne.com/prudence-avec-l%E2%80%99aspartame/ [En ligne], page consultée le 5 mai 2014.

Gouget, Corinne (2008). Danger additifs alimentaires : Le guide indispensable pour ne plus vous empoisonner, Éditions Chariot d’Or, Paris, 150 pages.

Gouvernement du Canada (2012). Autorisation de mise en marché d’additifs alimentaires comme agents de conservation, http://laws-lois.justice.gc.ca/fra/reglements/DORS-2012-212/page-1.html#h-1[En ligne], page consultée le 5 mai 2014.

Institute for agriculture and trade policy (IATP), (2009). Smart Guide to food dyes: Buying foods that can help learning, http://www.iatp.org/documents/smart-guide-to-food-dyes-buying-foods-that-can-help-learning [En ligne], page consultée le 15 septembre 2013.

International Food Information Council (IFIC) Foundation et US Food and Drup Administration (FDA), (2010). Food ingredients & colors http://www.fda.gov/Food/IngredientsPackagingLabeling/FoodAdditivesIngredients/ucm094211.htm [En ligne], page consultée le 15 septembre 2013.

Lustig, Robert H. et al. (2012). The toxic truth about sugar, Nature, Vol. 482, 27-29.

Pourquoi se préoccuper de l’alimentation? – Partie 1

Par Mélanie Demers, inf. B.Sc.

Ce que l’on mange est ce qui alimente notre corps, mais c’est aussi ce qui nourrit la maladie et les cellules cancéreuses. Les enfants d’aujourd’hui sont plus malades que ceux de la dernière génération : on parle de cancers infantiles, d’autisme, de troubles envahissants du développement et déficit de l’attention, d’asthme, de malformations congénitales, etc. Il est maintenant temps de se poser la question et d’AGIR pour arrêter ce cycle infernal et, pour une vie en santé, tout commence par l’alimentation.

Les pesticides

Les pesticides ont pour fonction de TUER, qu’ils s’agissent de mauvaises herbes, d’insectes ou de champignons. Ainsi, on peut facilement comprendre que leurs effets peuvent aisément se répercuter sur la santé, étant donné la présence de leurs résidus dans notre assiette, mais aussi dans notre environnement.

Tout d’abord, l’exposition du fœtus aux pesticides pendant la grossesse , même à de très faibles niveaux, peut altérer la structure du cerveau et la sécrétion d’hormones thyroïdiennes (essentielles au bon développement du cerveau). Et, lorsque le cerveau ou le système nerveux est affecté, les répercussions peuvent être grandes et invalidantes chez certains enfants, faisant même des activités quotidiennes un défi perpétuel. De plus, certains cancers, malformations congénitales, une puberté précoce, l’obésité, le diabète et l’asthme sont autant de maladies infantiles ayant été associées à l’exposition aux pesticides.

Ce qui rend les enfants si vulnérables vient du fait que leur peau est plus perméable, que la surface de leur peau par rapport au poids est beaucoup plus grande, de même que la surface relative des poumons pour respirer et l’absorption au niveau gastro-intestinal est aussi plus importante étant donné une moins grande sécrétion d’acide gastrique que chez l’adulte. Alors, que faire pour diminuer l’exposition aux pesticides? Voici quelques pistes de solutions :

  • La meilleure solution demeure l’alimentation biologique où les pesticides y sont interdits.
  • Augmentez votre consommation de fruits et légumes en favorisant la culture biologique au moins pour les 12 plus contaminés selon l’Environmental Working Group.
  • Diminuez votre consommation de viande car les pesticides s’accumulent au fil de la chaîne alimentaire.
  • Achetez vos fruits et légumes localement. Cela vous permet souvent de discuter avec les producteurs et de poser vos questions. Sinon, cela vous assure que les pesticides utilisés sont autorisés dans votre région.
  • Évitez l’utilisation de pesticides à l’intérieur de la maison, plusieurs recettes naturelles efficaces sont proposées sur Internet.
  • Évitez de traiter votre pelouse qui est un magnifique terrain de jeux pour les enfants.

Les organismes génétiquement modifiés (OGM)

Les OGM possèdent un ou plusieurs gènes d’un autre organisme dans le but d’avoir des plantes plus résistantes, une agriculture plus productive, moins d’utilisation de pesticides, etc. Cependant, les effets du transfert de gènes d’une espèce à l’autre n’ont pas été étudiés avant que les gouvernements autorisent la production de ces OGM. Malheureusement, ils sont de plus en plus répandus et, sans l’étiquetage obligatoire des OGM, ils s’avèrent difficiles à éviter. Environ 66% des plantes génétiquement modifiées le sont pour résister à un puissant herbicide, le Roundup de Monsanto. Ainsi, l’utilisation de ces semences va de pair avec l’utilisation intensive de cet herbicide, très dangereux pour la santé et l’environnement.

Ainsi, la majorité des cultures de soya, canola, maïs, betterave à sucre, papaye et coton s’avèrent génétiquement modifiées. Les effets à long terme de la consommation d’OGM sont encore inconnus étant donné que leur apparition dans les champs datent seulement de 1996. Cependant, les effets potentiels ont bien été identifiés. D’abord, les allergies alimentaires sont provoquées par les protéines d’un aliment, lesquelles sont fabriquées par les gènes. Donc, l’introduction de nouveaux gènes amène la synthèse de nouvelles protéines aux effets inconnus. De plus, la culture d’OGM nécessite l’utilisation de grandes quantités de pesticides ayant des effets nocifs sur la santé et l’environnement. Et, encore une fois, ce sont les femmes enceintes et les enfants qui s’avèrent les plus vulnérables. Il est difficile d’éviter la présence d’OGM dans notre assiette. Cependant, certains indices peuvent nous laisser entrevoir leur présence.

  • Lisez bien les étiquettes afin d’identifier les produits contenant des dérivés de maïs, de canola, de soya, de betterave à sucre ou de papaye.
  • Privilégiez les aliments de culture biologique où la présence d’OGM est interdite.
  • Évitez les produits transformés : 70% d’entre eux contiennent des OGM.
  • Cuisinez à partir d’aliments frais.
  • Informez-vous!

Les antibiotiques

L’utilisation massive d’antibiotiques pour l’élevage des animaux n’est pas sans conséquence. En effet, ils sont ajoutés à la moulée afin d’accélérer la croissance et leur usage est souvent minimisé par les producteurs. Cependant, l’usage répété d’antibiotiques contribuent au phénomène de résistance. En effet, les bactéries s’adaptent très rapidement aux antibiotiques qui les agressent alors qu’aucune nouvelle classe n’a été découverte dans les 25 dernières années. De plus, il n’est pas impossible que des résidus se retrouvent dans la viande consommée par les humains. Les conséquences? Encore inconnues pour le moment… mais la prudence s’impose. Malheureusement, les viandes étiquetées « sans antibiotiques » ne le sont pas forcément puisque cette indication n’est pas régie par la loi. Alors, comment éviter la présence d’antibiotiques dans la viande? Les solutions sont peu nombreuses.

  • Achetez de la viande biologique où l’utilisation d’antibiotiques est interdite.
  • Achetez votre viande localement et posez des questions aux producteurs.
  • Augmentez la consommation de végétaux et diminuez celle de viande.
  • Devenez végétarien (si vous ne consommez pas de viande, vous éliminez le risque).

Références :

Bergeron, Lise (2010). Trop d’antibiotiques dans la viande, Protégez-voushttp://www.protegez-vous.ca/sante-et-alimentation/trop-dantibiotiques-dans-la-viande.html [En ligne], page consultée le 2 février 2014.

Consumer Reports magazine (2013). Consumer Reports investigation : Talking turkey, http://www.consumerreports.org/cro/magazine/2013/06/consumer-reports-investigation-talking-turkey/index.htm [En ligne], page consultée le 2 février 2014.

Dionne, Jean-Yves (2010). Des antibiotiques dans la production animale, http://www.jydionne.com/des-antibiotiques-dans-la-production-animale/ [En ligne], page consultée le 2 février 2014.

Environmental Working Group (2014). EWG’s 2014 Shopper’s Guide to Pesticides in Produce, http://www.ewg.org/foodnews/ [En ligne], page consultée le 27 avril 2014.

Schafer, K.S. et al. (2012). A Generation in Jeopardy: How pesticides are undermining our children’s health & intelligence, Oakland, Pesticide Action Network, 44 pages. Disponible au http://www.panna.org/publication/generation-in-jeopardy [En ligne].

Vigilance OGM (2012). Guide OGM 101 : OGM, au Québec, non merci!, 23 pages. Disponible au http://www.vigilanceogm.org/accueil/le-guide-ogm/ [En ligne].