par Melanie Demers | 24 Jan 2015 | Alimentation
Par Mélanie Demers, inf. B.Sc.
La plupart des gens en consomment chaque jour, en plus ou moins grande quantité. Les multinationales les produisant soutiennent qu’ils sont nécessaires pour nourrir le monde. De quoi s’agit-il? Des organismes génétiquement modifiés! Après vous avoir expliqué en quoi ils consistent, je vous exposerai, en 5 points, pourquoi nous n’avons pas besoin des OGM pour nourrir le monde.
D’abord, un organisme génétiquement modifié, ou OGM, est un organisme vivant, la plupart du temps une plante, auquel on a ajouté un gène d’un autre organisme pour lui conférer une propriété particulière. Par exemple, du soya résistant à l’herbicide appelé « Round-Up », permet au fermier d’utiliser cet herbicide pour contrer les mauvaises herbes dans son champ, sans tuer aussi ses plants de soya. Voici donc les 5 raisons pour lesquelles nous n’avons pas besoin des OGM pour nourrir le monde.
1. Les OGM sur le marché aujourd’hui ne sont pas faits pour soulager la faim
- D’abord, 84% de toutes les semences OGM sont tolérantes à un herbicide.
- Seulement 4 types de semences comptent pour près de 100% des plantations mondiales d’OGM : soya, maïs, coton et canola. Les 4 types sont utilisée pour l’exportation, pour produire du carburant ou pour des aliments transformés (industriels) et l’alimentation animale.
- Seulement 3 pays (États-Unis, Brésil, Argentine) produisent plus de 77% de tous les OGM mondiaux et 10 pays comptent pour 97% des acres génétiquement modifiés.
- Il n’existe pas de semences génétiquement modifiées sur le marché conçues pour une plus grande productivité, qui ont une valeur nutritionnelle ajoutée ou qui tolèrent certaines conditions environnementales.
2. Les semences génétiquement modifiées n’ont pas augmenté les rendements
- L’augmentation des rendements observée dans les dernières décennies est due à des semences traditionnelles qui demeurent plus efficaces et moins dispendieuses.
- Une étude a démontré qu’aux États-Unis, sur une période de 13 ans après le début de la commercialisation des OGM, les rendements du soya et du maïs tolérants à l’herbicide n’ont pas augmenté.
- Toujours aux États-Unis, le rendement total du maïs entre 2004 et 2008 a été de 28% dont seulement 3,3% était attribué aux variétés génétiquement. L’autre 25% était dû à l’amélioration des variétés conventionnelles.
3. Les semences génétiquement modifiées n’ont pas augmenté les revenus des fermiers
- D’abord, comme nous venons de le voir, les rendements n’ont pas augmenté.
- De plus, le coût des semences OGM est nettement plus élevé que celles traditionnelles.
- Par exemple, en Inde, un paquet de semences génétiquement modifiées de coton coûte entre 700 et 2000 roupies (12$ et 36$ Canadien), ce qui est 3 à 8 fois plus élevé que les semences conventionnelles.
- Donc, les semences coûtent plus cher et les rendements sont moindres et les fermiers s’appauvrissent de plus en plus.
- Pour en avoir un aperçu, je vous invite à visionner « Le monde selon Monsanto ».
4. Les semences OGM amènent une augmentation de l’utilisation des pesticides et encore plus de dommages à l’environnement.
- En 2011, l’utilisation de pesticides était 24% plus élevée par âcre pour les OGM que les cultures conventionnelles.
- Cela est dû à la résistance des mauvaises herbes au même herbicide que la semence.
- Le même phénomène se produit aussi avec les insectes qui deviennent résistants aux insecticides. Ils s’adaptent.
5. Les semences génétiquement modifiées sont produites et appartiennent à de grosses multinationales
- Seulement 6 compagnies contrôlent 60% de toutes les semences.
- En 2007, elles comptaient pour 98% des âcres génétiquement modifiés.
- Leurs profits sont beaucoup plus importants que le fait que les gens aient accès à de la nourriture ou non.
- Ces compagnies empêchent les fermiers de conserver les graines génétiquement modifiées après la récolte. De toute façon, la plupart du temps elles sont stériles et ils n’ont d’autres choix que d’en racheter. De plus, elles encouragent fortement à utiliser les pesticides de la même marque.
- Cela met tant les fermiers que les consommateurs dans une position de dépendance.
En résumé, nous n’avons pas besoin des OGM pour nourrir le monde car les OGM actuellement sur le marché n’ont pas pour but de soulager la faim, ils n’ont pas augmenté les rendements ni les revenus des fermiers, ils amènent une augmentation de l’utilisation des pesticides et ils appartiennent à de grosses multinationales recherchant les profits. Pour finir, une dernière statistique intéressante : Les paysans fournissent 70% de la nourriture mondiale en cultivant seulement 20 à 30% des terres arables tandis que le système d’alimentation industriel fournit 30% de la nourriture mondiale en cultivant 70 à 80% des terres arables. Qu’en pensez-vous?
Références
Canadian Biotechnology Action Network (CBAN), 2014. Will GM Crops Feed the World?, Ottawa, http://www.cban.ca/Resources/Topics/Feeding-the-World/Will-GM-Crops-Feed-the-World [En ligne], page consultée le 11 janvier 2015.
Robin, Marie-Monique, (2008). Le monde selon Monsanto: De la dioxine aux OGM, Métropole Film, DVD.
par Melanie Demers | 29 Avr 2014 | Alimentation, Prévention
Par Mélanie Demers, inf. B.Sc.
Ce que l’on mange est ce qui alimente notre corps, mais c’est aussi ce qui nourrit la maladie et les cellules cancéreuses. Les enfants d’aujourd’hui sont plus malades que ceux de la dernière génération : on parle de cancers infantiles, d’autisme, de troubles envahissants du développement et déficit de l’attention, d’asthme, de malformations congénitales, etc. Il est maintenant temps de se poser la question et d’AGIR pour arrêter ce cycle infernal et, pour une vie en santé, tout commence par l’alimentation.
Les pesticides
Les pesticides ont pour fonction de TUER, qu’ils s’agissent de mauvaises herbes, d’insectes ou de champignons. Ainsi, on peut facilement comprendre que leurs effets peuvent aisément se répercuter sur la santé, étant donné la présence de leurs résidus dans notre assiette, mais aussi dans notre environnement.
Tout d’abord, l’exposition du fœtus aux pesticides pendant la grossesse , même à de très faibles niveaux, peut altérer la structure du cerveau et la sécrétion d’hormones thyroïdiennes (essentielles au bon développement du cerveau). Et, lorsque le cerveau ou le système nerveux est affecté, les répercussions peuvent être grandes et invalidantes chez certains enfants, faisant même des activités quotidiennes un défi perpétuel. De plus, certains cancers, malformations congénitales, une puberté précoce, l’obésité, le diabète et l’asthme sont autant de maladies infantiles ayant été associées à l’exposition aux pesticides.
Ce qui rend les enfants si vulnérables vient du fait que leur peau est plus perméable, que la surface de leur peau par rapport au poids est beaucoup plus grande, de même que la surface relative des poumons pour respirer et l’absorption au niveau gastro-intestinal est aussi plus importante étant donné une moins grande sécrétion d’acide gastrique que chez l’adulte. Alors, que faire pour diminuer l’exposition aux pesticides? Voici quelques pistes de solutions :
- La meilleure solution demeure l’alimentation biologique où les pesticides y sont interdits.
- Augmentez votre consommation de fruits et légumes en favorisant la culture biologique au moins pour les 12 plus contaminés selon l’Environmental Working Group.
- Diminuez votre consommation de viande car les pesticides s’accumulent au fil de la chaîne alimentaire.
- Achetez vos fruits et légumes localement. Cela vous permet souvent de discuter avec les producteurs et de poser vos questions. Sinon, cela vous assure que les pesticides utilisés sont autorisés dans votre région.
- Évitez l’utilisation de pesticides à l’intérieur de la maison, plusieurs recettes naturelles efficaces sont proposées sur Internet.
- Évitez de traiter votre pelouse qui est un magnifique terrain de jeux pour les enfants.
Les organismes génétiquement modifiés (OGM)
Les OGM possèdent un ou plusieurs gènes d’un autre organisme dans le but d’avoir des plantes plus résistantes, une agriculture plus productive, moins d’utilisation de pesticides, etc. Cependant, les effets du transfert de gènes d’une espèce à l’autre n’ont pas été étudiés avant que les gouvernements autorisent la production de ces OGM. Malheureusement, ils sont de plus en plus répandus et, sans l’étiquetage obligatoire des OGM, ils s’avèrent difficiles à éviter. Environ 66% des plantes génétiquement modifiées le sont pour résister à un puissant herbicide, le Roundup de Monsanto. Ainsi, l’utilisation de ces semences va de pair avec l’utilisation intensive de cet herbicide, très dangereux pour la santé et l’environnement.
Ainsi, la majorité des cultures de soya, canola, maïs, betterave à sucre, papaye et coton s’avèrent génétiquement modifiées. Les effets à long terme de la consommation d’OGM sont encore inconnus étant donné que leur apparition dans les champs datent seulement de 1996. Cependant, les effets potentiels ont bien été identifiés. D’abord, les allergies alimentaires sont provoquées par les protéines d’un aliment, lesquelles sont fabriquées par les gènes. Donc, l’introduction de nouveaux gènes amène la synthèse de nouvelles protéines aux effets inconnus. De plus, la culture d’OGM nécessite l’utilisation de grandes quantités de pesticides ayant des effets nocifs sur la santé et l’environnement. Et, encore une fois, ce sont les femmes enceintes et les enfants qui s’avèrent les plus vulnérables. Il est difficile d’éviter la présence d’OGM dans notre assiette. Cependant, certains indices peuvent nous laisser entrevoir leur présence.
- Lisez bien les étiquettes afin d’identifier les produits contenant des dérivés de maïs, de canola, de soya, de betterave à sucre ou de papaye.
- Privilégiez les aliments de culture biologique où la présence d’OGM est interdite.
- Évitez les produits transformés : 70% d’entre eux contiennent des OGM.
- Cuisinez à partir d’aliments frais.
Les antibiotiques
L’utilisation massive d’antibiotiques pour l’élevage des animaux n’est pas sans conséquence. En effet, ils sont ajoutés à la moulée afin d’accélérer la croissance et leur usage est souvent minimisé par les producteurs. Cependant, l’usage répété d’antibiotiques contribuent au phénomène de résistance. En effet, les bactéries s’adaptent très rapidement aux antibiotiques qui les agressent alors qu’aucune nouvelle classe n’a été découverte dans les 25 dernières années. De plus, il n’est pas impossible que des résidus se retrouvent dans la viande consommée par les humains. Les conséquences? Encore inconnues pour le moment… mais la prudence s’impose. Malheureusement, les viandes étiquetées « sans antibiotiques » ne le sont pas forcément puisque cette indication n’est pas régie par la loi. Alors, comment éviter la présence d’antibiotiques dans la viande? Les solutions sont peu nombreuses.
- Achetez de la viande biologique où l’utilisation d’antibiotiques est interdite.
- Achetez votre viande localement et posez des questions aux producteurs.
- Augmentez la consommation de végétaux et diminuez celle de viande.
- Devenez végétarien (si vous ne consommez pas de viande, vous éliminez le risque).
Références :
Bergeron, Lise (2010). Trop d’antibiotiques dans la viande, Protégez-vous, http://www.protegez-vous.ca/sante-et-alimentation/trop-dantibiotiques-dans-la-viande.html [En ligne], page consultée le 2 février 2014.
Consumer Reports magazine (2013). Consumer Reports investigation : Talking turkey, http://www.consumerreports.org/cro/magazine/2013/06/consumer-reports-investigation-talking-turkey/index.htm [En ligne], page consultée le 2 février 2014.
Dionne, Jean-Yves (2010). Des antibiotiques dans la production animale, http://www.jydionne.com/des-antibiotiques-dans-la-production-animale/ [En ligne], page consultée le 2 février 2014.
Environmental Working Group (2014). EWG’s 2014 Shopper’s Guide to Pesticides in Produce, http://www.ewg.org/foodnews/ [En ligne], page consultée le 27 avril 2014.
Schafer, K.S. et al. (2012). A Generation in Jeopardy: How pesticides are undermining our children’s health & intelligence, Oakland, Pesticide Action Network, 44 pages. Disponible au http://www.panna.org/publication/generation-in-jeopardy [En ligne].
Vigilance OGM (2012). Guide OGM 101 : OGM, au Québec, non merci!, 23 pages. Disponible au http://www.vigilanceogm.org/accueil/le-guide-ogm/ [En ligne].
par Melanie Demers | 13 Déc 2013 | Alimentation, Environnement, Santé des enfants
Par Mélanie Demers, inf.B.Sc.
On entend de plus en plus parler d’organismes génétiquement modifiés (OGM) et de leur étiquetage. D’ailleurs, le Canada vient d’approuver la culture d’œufs de saumon génétiquement modifiés (GM) et cette décision se trouve très controversée. Pourquoi?
Qu’est-ce qu’un OGM?
Un OGM est un organisme vivant créé artificiellement par des techniques de manipulation génétique. En fait, il s’agit de prendre un ou plusieurs gènes dans un organisme et de les insérer dans un autre afin de donner à ce dernier des propriétés particulières. Pour plus d’informations : http://vimeo.com/6793959
Où les retrouve-t-on?
Actuellement, dans le monde, les principales cultures OGM sont : le soya GM (50%), le maïs GM (31%), le coton GM (14%) et le canola GM (5%). Près de 90% des cultures OGM dans le monde se situent en Amérique, principalement aux États-Unis (53%), en Argentine (18%), au Brésil (11,5%) et au Canada (6,1%). De plus, ce type de culture sert surtout à nourrir le bétail et les animaux d’élevage.
Au Canada, les OGM présentement cultivés et commercialisés sont le canola, le maïs, le soya ainsi que la betterave sucrière et ils se retrouvent dans près de 70% des produits transformés sur les tablettes des supermarchés. Du maïs OGM sucré destiné à la consommation humaine a même été retrouvé dans les épiceries du Québec au cours de la saison 2013, mais aucun moyen de le savoir sans demander des informations, car ils ne sont pas étiquetés.
Quels sont les risques pour la santé?
Les risques de la consommation d’OGM sur la santé n’ont pas été étudiés à long terme, ce qui laisse planer le doute quant à leur innocuité. En fait, une étude très controversée, publiée en 2012, a étudié l’effet de la consommation de maïs OGM résistant à l’herbicide Roundup sur la santé de rats, pendant une période de 2 ans. Les résultats obtenus sont effarants. Les femelles ont développé des tumeurs mammaires importantes, leur hypophyse a été grandement affectée et les hormones sexuelles, complètement débalancées. De plus, parmi celles nourries au maïs OGM, il y a eu 2 à 3 fois plus de morts que parmi celles qui ne l’étaient pas et elles sont mortes beaucoup plus rapidement. Parmi les mâles nourris aux OGM, on a noté une congestion et une nécrose du foie 2,5 à 5,5 fois plus élevé que parmi ceux qui ne l’étaient pas. Les néphropathies marquées et sévères étaient 1,3 à 2,3 fois plus fréquentes de même que des tumeurs 4 fois plus grosses apparaissant 600 jours plus tôt. Cette étude s’est avérée très controversée, mais il faut savoir que Monsanto, la multinationale à l’origine de ce maïs et de l’herbicide associé, est l’une des plus puissante au monde : elle détient 90% des semences OGM mondiales et elle n’a peut-être pas apprécié la publication de cette étude. Bref, un an après sa parution, on en parle encore.
Néanmoins, certains risques potentiels liés à la consommation d’OGM ont été clairement identifiés. Tout d’abord, les allergies. Celles-ci sont causées par la réaction exagérée de l’organisme à des protéines et les gènes constituent la base de la fabrication des protéines. Donc, les nouvelles protéines modifiées s’avèrent susceptibles de provoquer des allergies alimentaires.
De plus, ce type de culture utilise de nombreux pesticides qui ont le pouvoir de perturber l’équilibre des différentes hormones dans notre corps, et ce, en très petite quantité. Or, cela peut altérer la fonction sexuelle et reproductrice, la croissance et le comportement. Les femmes et les jeunes enfants représentent les personnes les plus à risque quant à la consommation d’OGM.
De plus, les effets sur l’environnement sont indéniables : pollution de l’eau et des sols due à l’utilisation grandissante de pesticides, contamination du patrimoine génétique d’autres plantes, la déforestation, etc. Les effets peuvent aller bien au-delà de ceux présentés ici, mais seules des études à long terme et en quantités suffisantes pourront nous éclairer sur ce point.
L’avenir des OGM
Les grandes multinationales travaillent sans relâche pour introduire de nouvelles cultures OGM. En novembre 2013, le gouvernement canadien a d’ailleurs approuvé la production commerciale d’œufs de saumon GM. Ce poisson pourrait devenir le premier animal GM à être autorisé pour la consommation humaine.
La luzerne OGM résistante à l’herbicide Roundup a déjà été approuvée aux États-Unis et pourrait l’être rapidement au Canada. Une pomme GM qui ne brunit pas au contact de l’air serait aussi près d’une approbation de commercialisation au Canada et aux États-Unis. D’autres OGM approuvés mais non cultivés au Canada pourraient se retrouver dans nos épiceries dans les prochaines années : pomme de terre, tomate, lin, riz, courge et papaye.
L’étiquetage des OGM
Il s’avère impossible de déceler un OGM s’il n’est pas étiqueté et au Canada, cet étiquetage n’est pas obligatoire. Aux États-Unis, certains états ont réussi à légiférer cet étiquetage, mais la puissance des multinationales a fait avorter plusieurs de ces projets de loi. Présentement, dans le monde, l’étiquetage des OGM est obligatoire dans une soixantaine de pays.
Par conséquent, un des rares moyens d’éloigner la présence d’OGM dans notre assiette est d’éviter les produits contenant des ingrédients provenant des grandes cultures OGM soient le canola, le soya et le maïs. Mais, là encore, la certitude n’est pas absolue. L’unique solution est de consommer des aliments biologiques et locaux, car les OGM sont interdits en culture biologique et lorsque l’aliment est local, il est plus facile d’identifier le type de culture à son origine. Finalement, il vous reste toujours la possibilité de cultiver vous-mêmes vos légumes et d’élever vos propres animaux.
Références :
Générations futures, Qu’est-ce qu’un OGM?, http://www.generations-futures.fr/sinformer/ogm/quest-ce-quun-ogm/ [En ligne], page consultée le 12 décembre 2013.
Greenpeace France, Des OGM dans nos assiettes, http://www.greenpeace.org/france/fr/campagnes/ogm/fiches-thematiques/des-ogm-dans-nos-assiettes/ [En ligne], page consultée le 12 décembre 2013.
Greenpeace France, Le génie génétique en agriculture, http://www.greenpeace.org/france/fr/campagnes/ogm/fiches-thematiques/le-genie-genetique-en-agricult/ [En ligne], page consultée le 12 décembre 2013.
Greenpeace France, Menaces et dangers des OGM, http://www.greenpeace.org/france/fr/campagnes/ogm/fiches-thematiques/menaces-et-dangers-des-ogm/#a2 [En ligne], page consultée le 12 décembre 2013.
InfoOGM, États-Unis : Bientôt un étiquetage obligatoire des OGM dans le Connecticut?, http://www.infogm.org/spip.php?article5432 [En ligne], page consultée le 12 décembre 2013.
Séralini, G. et al. (2012) Long term toxicity of a Roundup herbicide and a Roundup-tolerant genetically modified maize, Food and chemical toxicology, 50(11), 4221-4231.
Vigilance OGM, C’est quoi?, http://www.infoogm.qc.ca/les-ogm/cest-quoi/ [En ligne], page consultée le 12 décembre 2013.
Vigilance OGM, Dans nos assiettes?, http://www.infoogm.qc.ca/ou-sont-les-ogm/dans-nos-assiettes/ [En ligne], page consultée le 12 décembre 2013.
Vigilance OGM, Les OGM qui « poussent », http://www.infoogm.qc.ca/ou-sont-les-ogm/les-ogm-qui-poussent/ [En ligne], page consultée le 12 décembre 2013.
Vigilance OGM, Risques sur la santé, http://www.infoogm.qc.ca/les-risques/risques-sur-la-sante/ [En ligne], page consultée le 12 décembre 2013.
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